lundi 15 septembre 2008

L'aventurier du jardin potager

La mer,
un ami qui surf
sous le regard vif de sa filloune,
déjà grande.

Le regard de sa compagne
refrètant lui la quiété
d'etre
simplement
face à la vie,
face aux mouvements de cette eau
de vie.

D'une vie trop protégé peut-on savoir les qualités en nous?

Les lunettes partirent à la mer,et alors
Wouhaayoupi!,
sans vision , je vois.
Je vois bien qu'un grand calme est là, (celui-çi)
heureux grace à cette "perte"
d'etre Apparent si facilement.
Calme heureux de lui meme.

Depuis, fog épais,
calme engandrant la joie,
né-cécité de se fier aux "autres",
une belle aventure silencieuse va etre,
en ville,
au jardin potager!!

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Mais... comment en étant dans le train peux tu "alimenter" ton blog ?!

Ce texte est beau et trés réaliste, je trouve - merci pour ton passage ici - situation tranquille à mon retour au "travail"-

Ciao Dimitri

Anonyme a dit…

Un poème qui laisse sans voix , tellement tu es toi . Merci Dimitri. Sylvie

Anonyme a dit…

En faite,j' alimente le blog grace aux cyber-cafés
de Françe et de Navarre.
Un peu de Hatha-yoga sur le port de la Rochelle
et un peu de cyber-café
pour vivre un chouilla en musique...
musique que je n'ai pas écoutée pendant des années,
alors maintenant je la rejoint.

Bye

Julie a dit…

Merci du partage... je peux mettre des visages sur ton poèmes... et c'est une belle aventure cette perte de lunettes !

Anonyme a dit…

Dimitri, je te suis trés reconnaissant pour ces deux journée passée, au travail.

Merci

Anonyme a dit…

Comme dit Sylvie, c'est tout un poème qui te raconte mieux que n'importe qui!
Bon retour chez toi, Dimi.
Bisous,
Pascale